‘A strong return to WEC’

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6 Hours of Nurburgring (WEC, Round 4)

WEC 6 Hours of Silverstone 2015

Benoît Tréluyer enjoyed a strong return to the FIA World Endurance Championship by claiming third at last weekend’s 6 Hours of Nürburgring alongside his usual Audi Sport crew-mates, André Lotterer and Marcel Fässler (August 28-30). In front of a record 62,000-strong home crowd the #7 Audi R18 e-tron quattro trio asserted their leadership in this year’s Drivers’ standings. 

When it became clear that victory at the classic grand prix venue was out of reach, the three-time Le Mans winners set about harvesting the biggest points haul possible in the Eifel region. Although their plan came together perfectly, Dr Ullrich’s men had held higher ambitions for the WEC’s maiden visit to Germany.

“We knew Porsche would be very fast indeed, but still hoped to fare better than we eventually did,” rues Benoît. “Clearly we didn’t manage to extract the full potential of the car and didn’t perform as we’d expected to after the two-day test held at the same track four weeks ago!

“It had been a bit colder in late July and I think that last weekend’s searing heat hampered our progress. We weren’t able to set up and fine-tune the car as we should have. We’ll pore over the data in order to understand why we couldn’t make the tyres or aero work to our liking. All these factors are so intertwined that it only takes one to turn everything upside down!

“Except for my hard and fair battle with Neel Jani’s #18 Porsche, it wasn’t the most thrilling afternoon for us. It quickly became clear that the goal was to pick up as many points as possible. Third was probably the best we could achieve and this is where we finished, although we weren’t able to spice things up like we’d done so far this year. That said, there’s no reason for alarm and we are confident of mounting a victory challenge next time out in Austin.”

The #7 triumvirate eventually came home in third place, thus clinching a valuable podium in their pursuit of a second WEC Drivers’ title.

Benoît and his friends climbed onto the rostrum for an emotional ceremony that saw them receive the cheers from a record crowd of 62,000 fans. Except for the Le Mans 24 Hours, when was the last time a World Endurance Championship round drew such a massive turnout?

“Unbelievable”, “staggering”, “amazing” – Benoît doesn’t have enough words to describe the event. “I was very pleasantly surprised by the overall atmosphere. I think it boils down to the Nürburgring itself, a track that I hadn’t experienced before but immediately became enamoured with. At a venue so steeped in history, something always happens. You can feel it as soon as you walk through the circuit gates.

“From that perspective it was a mega weekend; what a pleasure to meet so many happy WEC fans! The series’ reputation and image have undeniably changed and people are really looking forward to watching the races. There’s tremendous fighting on track and a lot of camaraderie within the paddock, and fans love it! There’s always something going on, be it in the LMP1 or LMP2 categories, and across both GT classes. Endurance racing is a pretty breath-taking affair…”

The trend is sure to continue on September 17-19 when the WEC travels to Austin, Texas, for the 6 Hours of COTA. Benoît, André, and Marcel will already have one eye on conquering the Wild West, just as they did at the US Grand Prix venue last year.

6 Heures du Nurburgring (WEC/Manche 4)

Le Mans 24 Hours

Retour appliqué sur les bancs du WEC le week-end dernier (28-30 août) pour Benoît Tréluyer et ses complices chez Audi Sport, André Lotterer et Marcel Fässler. Devant une foule record de 62.000 spectateurs, l’équipage de l’Audi R18 e-tron quattro n°7 grimpe sur le podium et conforte ainsi sa position de leader au classement « Pilotes ».

Prendre le plus de points possible quand la victoire est impossible, c’est ce que les triples vainqueurs des 24 Heures du Mans se sont attachés à faire avec application dans le massif de l’Eifel. Une mission parfaitement exécutée même si les hommes du Dr Ullrich s’attendaient à un peu mieux à l’occasion de la première venue du WEC en Allemagne.

« Nous savions que Porsche allait être très rapide, mais pensions être mieux de notre côté, regrette Benoît. Clairement, nous ne sommes pas parvenus à extraire le plein potentiel de la voiture, et n’avons pas affiché la performance escomptée. Du moins celle que nous laissaient espérer les deux journées de tests effectuées sur le même tracé quatre semaines plus tôt !

Il faisait plus frais en juillet et l’augmentation de la température nous a gênés. Nous n’avons pas été capables de régler et d’optimiser la voiture comme nous l’aurions dû. Nous allons éplucher les données pour comprendre pourquoi nous n’avons pas pu exploiter les pneus et l’aéro comme il aurait fallu. Tous les paramètres étant interconnectés, il en suffit d’un seul pour que tout parte en cacahouète !

À l’exception de ma bagarre – intense et d’un grand fair-play – avec la Porsche n°18 de Neel Jani, ce ne fut guère excitant pour nous ! Rapidement, l’objectif fut de ramener le maximum de points possible. Au final, nous terminons à la place que nous pensions être la nôtre, mais sans avoir été en mesure de jouer les trouble-fêtes comme nous l’avions fait depuis le début de l’année. Rien d’alarmant car nous sommes persuadés de revenir dans la lutte pour la gagne dès Austin. »

C’est donc à la troisième place que le trio bouclait sa sixième et dernière heure de course avec à la clé un podium synonyme tout de même de bonne opération au championnat « Pilotes ».

C’est ensuite devant une foule record de 62.000 spectateurs que les trois complices de la n°7 sont montés sur le podium, non sans une pointe d’émotion. Depuis combien de temps, à l’exception évidemment des 24 Heures du Mans, une manche du WEC avait-elle attiré autant de monde ?

« Incroyable », « hallucinant », « génial », le Français n’a pas assez de superlatifs pour décrire son ressenti.

« J’ai été très agréablement surpris par l’ambiance. Je crois que cela tient au Nürburgring en lui-même, un tracé que je ne connaissais pas mais que j’ai immédiatement adoré. Sur les circuits qui ont un tel passé, une telle histoire, il se passe toujours quelque chose. Cela se ressent dès que tu pénètres dans l’enceinte.

 

Sur ce plan, ce fut un week-end fantastique ! Contact avec les spectateurs, fans souriants… que du bonheur ! L’image et la réputation du championnat ont aussi indéniablement évolué et les gens ont hâte de voir les courses. Il y a de la bagarre en piste et de la convivialité dans le paddock : et ça plaît ! Il y a toujours de l’action et du suspense, que ce soit en LMP1, LMP2 ou GT. L’Endurance, ça te tient en haleine… »

Il en sera de même à Austin, aux Etats-Unis, où le championnat du monde d’Endurance FIA se rend dans deux semaines (17-19 septembre) pour les 6 Heures du Circuit des Amériques. Vainqueurs l’an passé sur le tracé texan, Benoît, André, et Marcel auront à cœur de poursuivre leur conquête de l’Ouest !

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