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6 Hours of Shanghai (FIA World Endurance Championship – Round 8)

Faire triompher Audi sera la mission première de Benoît Tréluyer et de ses équipiers André

Benoît Tréluyer and his Audi Sport team-mates Marcel Fässler and André Lotterer head to this weekend’s 6 Hours of Shanghai (28 October) targeting victory aboard the German manufacturer’s R18 e-tron quattro and, when the dust has settled on the Chinese contest, could find themselves crowned FIA World Endurance champions.

Benoît opted to return to Europe rather than remain in Asia following the 6 Hours of Fuji (14 October), taking the opportunity to relax with his family and attend the launch of the new Forza Horizon game at the invitation of Xbox France.

« It’s best described as a ‘bad boy’ version of the original Forza Motorsport, which put more emphasis on racing, car performance and therefore lap times. Forza Horizon is about the freedom of open spaces, with races taking place on roads around the madness of the Horizon music festival. At the same time, it maintains the DNA that the Forza franchise is known for: the perfection of the driving experience and extremely realistic vehicles. As part of the launch I spent a day at the wheel of an Audi R8 V10, giving 80 journalists high-speed passenger rides on the runway of Le Bourget airport where the game was presented under the wing of a Concorde. Then the doors of the aircraft hanger opened and I emerged on to the tarmac sideways. For once I was told to push the tyres to their limit and I didn’t need to be asked twice! As someone who spends a great deal of time in simulators being part of this launch was a real honour. »

After learning the Silverstone, Interlagos and Sakhir circuits virtually, Benoît has also been getting to grips with the Shanghai track aboard his simulator. It mixes tight corners, where the power needs to be delivered at low revs, with long sweeping curves that demand top-end speed, making it equally suited to Audi and their Japanese opponents Toyota.

« We must not lose sight of the fact that we race for a manufacturer, » emphasises Benoît. « The priority for myself, André and Marcel is to put Audi on the top step of the podium. We will give everything we have to win this race and only after the chequered flag has fallen will we look at the drivers’ championship. Of course I’d like to win the title, but if we have to take risks to secure the race victory we will do so. »

Championship leaders ahead of this weekend’s season-closing round, the trio has already claimed victories at the Le Mans 24 Hours, 6 Hours of Silverstone and 6 Hours of Bahrain and know that a place on the podium would guarantee them the title.

« Andre, Marcel and I are not three – we are one! So winning a title with them would be fantastic. To be the first world champions for Audi in sports-prototype racing and the first World Endurance Championship winners would obviously be something very special too, while it would also be great for the mechanics and engineers who have worked so hard on the car all season. »

But while the trio’s desire to claim the world title is strong, the Frenchman is quick to point out that it would not register the same emotional intensity as victory at Le Mans.

« For me – and I think the same goes for my team-mates – Le Mans remains the most difficult and therefore most satisfying race in the world. The WEC drivers’ title was not our top priority this year. We would be very proud and happy to become world champions for Audi, but the 24 Hours is something else altogether. It won’t have the same impact, but for now we’re not thinking about it. We will celebrate if things go our way, but we should remain grounded: we know very well that nothing is ever guaranteed in motor racing. »

Having claimed titles in Formula 3, Formula Nippon and Super GT Benoît is well aware of what it takes to win a championship. And, regardless of the prize at stake, he believes that the path to victory remains the same.

« A championship is a championship, » he insists. « The processes and work required are the same. Were we to win it, I guess the significance would perhaps dawn on us during the FIA prize-giving ceremony. When I won titles in Japan it was also against drivers from all over the world, but it didn’t have the same gravitas. Being crowned world champion speaks for itself – it is a status. »

To be racing for a world title is not a common occurrence in any driver’s career, so it is important for Benoît, André and Marcel to remain calm ahead of Sunday’s six-hour event. A steady hand is required when you have the world at your fingertips.

To keep up to date with Benoît on and off the circuit please visit www.benoittreluyer.com, follow him on Twitter @BenoitTreluyer and like his Facebook page.6 Heures de Shanghai (Championnat du Monde d’Endurance – Manche 8)

Faire triompher Audi sera la mission première de Benoît Tréluyer et de ses équipiers André

Lotterer et Marcel Fässler sur le sol chinois. Ensuite, viendra l’heure des comptes avec peut-être un titre de Champions du Monde à la clé. Veillée d’armes !

Benoît Tréluyer n’est pas resté en Asie après les dernières 6 Heures de Fuji. Fidèle à lui-même, il a préféré rentrer en Europe pour recharger ses batteries en famille, et répondre à l’invitation de Xbox France pour le lancement du nouveau jeu Forza Horizon !

« Une version un peu « bad boy » de Forza Motorsport, lui étant plus axé simulation de course, performance et donc chrono. Forza Horizon, c’est la liberté des environnements ouverts, des courses sur routes et la folie du Festival Horizon tout en conservant l’ADN de la franchise Forza : la perfection de la conduite et le réalisme des véhicules.

Pendant une journée, au volant d’une R8 V10 sur les pistes du Bourget, j’ai donné des sensations à 80 journalistes et je me suis vraiment amusé. Présentation du jeu sous le Concorde, ouverture des portes de l’immense hangar, entrée sur la piste, virages à l’équerre… Pour une fois que j’avais le droit de taper dans les pneus, je ne me suis pas fait prier. Pour moi qui passe actuellement ma vie dans des simulateurs, ce fut un honneur de participer à ce lancement de jeu … »

Eh oui, après les tracés de Silverstone en Grande Bretagne, Interlagos au Brésil et de Sakhir au Bahreïn, c’est de nouveau dans un simulateur que Benoît a découvert celui de Shanghai avec ses virages serrés où il faut de la puissance à bas régime, et ses grandes courbes rapides qui privilégient la puissance à haut régime. Une piste dont certaines parties s’annoncent favorables à Audi et d’autres à son adversaire japonais.

« La chose qu’il ne faut pas perdre de vue, c’est que l’on court pour un constructeur, martèle Benoît. Notre priorité avec André (Lotterer) et Marcel (Fässler), c’est de faire monter une Audi sur la plus haute marche du podium. On va tout donner pour gagner la course et après, après seulement, on fera les comptes pour le championnat « Pilotes ». C’est sûr que j’aimerais le remporter, mais s’il faut prendre des risques pour gagner la course, on les prendra. »

Leader du championnat du monde avant cette manche de clôture du FIA World Endurance Championship (WEC), le trio déjà vainqueur cette saison des 24 Heures du Mans, des 6 Heures de Silverstone et des 6 Heures de Bahreïn devra grimper sur le podium pour s’assurer du titre.

« Avec André et Marcel, nous ne sommes pas trois mais un ! Alors, évidemment, avoir un titre acquis ensemble, ça serait génial. Etre les premiers champions du monde Audi en Sport-Prototypes, être les premiers champions du Championnat du Monde d’Endurance renaissant, cela serait évidemment quelque chose de très fort. Ce serait également super pour les mécanos et les ingénieurs qui travaillent dur sur la voiture depuis le début de la saison… »

Très fort, mais peut-être pas aussi intense qu’une victoire dans la Sarthe comme le Français est le premier à le suggérer.

« Pour moi, et je pense que c’est la même chose pour mes équipiers, Le Mans reste la course la plus difficile au monde ! Le titre en WEC, honnêtement, ce n’était pas notre priorité cette année. Nous serions très fiers et très heureux de décrocher un titre de champions du monde, mais les 24 Heures restent les 24 Heures ! Cela n’aura pas le même impact ! Pour le moment, en plus, nous évitons d’y penser… On célébrera si le titre nous sourit, mais il convient de rester prudents. En sport auto, on sait très bien que rien n’est jamais acquis. »

Après les titres décrochés en Formule 3, Formule Nippon et Super GT, Benoît sait ce que veut dire remporter un championnat. Qu’importe l’enjeu, le cheminement est le même…

« Un championnat reste un championnat, répète-t-il. Le processus est le même, et le travail aussi. Maintenant, si nous parvenons à être titrés, j’imagine que la véritable prise de conscience aura lieu lors de la remise des prix de la FIA. Quand je me battais au Japon, c’était aussi contre des pilotes venus des quatre coins de la planète, mais ça n’avait pas le label mondial. Champion du Monde, ça claque, c’est un statu ! »

Jouer un championnat du monde n’est pas si courant dans une carrière du pilote, d’où aussi l’importance pour Benoît, André et Marcel de dédramatiser l’enjeu, de garder la tête froide. Quand on a le monde à portée de main, il ne faut pas trembler…

Pour rester en contact avec Benoît pendant toute la saison, merci de visiter son site www.benoittreluyer.com , ou de le suivre sur Twitter @BenoitTreluyer ou sur sa page Facebook.

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