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12 Hours of Sebring (World Endurance Championship – Round 1)

Having taken pole position for the opening round of the new World Endurance Championship, Benoît Tréluyer and his team-mates were unable to fight for victory in Saturday’s 12 Hours of Sebring following a mid-race shifting issue. Despite the 2011 Le Mans 24 Hours winners’ disappointment, they were able to celebrate the one-two finish achieved by their fellow factory Audis at the Florida circuit.

The #1 car of Tréluyer, André Lotterer and Marcel Fässler undoubtedly had the potential to climb the top step of the podium at the American classic’s 60th running.

After Lotterer snatched pole position in qualifying the trio looked a genuine threat to the #2 effort of Tom Kristensen, Dindo Capello and Allan McNish, but as the race hit mid-distance a small electronic issue began to affect downshifts, hindering the Audi R18’s progress.

“The problem began during my stint so I informed the team that something was wrong and headed for the pits,” explained Tréluyer. “Unfortunately, in the rush, the crew member in charge of the fire extinguisher did not have time to get ready and we received a penalty, costing us a whole lap!”

This proved a significant handicap, albeit one that would have little bearing on the eventual outcome of the race as Fässler encountered the same problem his team-mate suffered.

“At this stage we had to take the car back to the paddock and change some components,” explained Tréluyer. “When we re-joined our rhythm was good. We were running at a pace that would have allowed us to fight for the win, but with 17 laps lost it was too little too late. Luck just wasn’t on our side today.”

It was a frustrating end to the day for the 2011 Le Mans 24 Hours-winning crew, who appeared to have a few aces up their sleeve for the decisive latter stages of the race.

“We were looking good,” commented the Frenchman. “We dealt with traffic and avoided contact on what was an extremely busy circuit. The objective was to remain on the lead lap so as to launch an attack during the last hour of the race. We wanted to see how things played out towards the end and replay last year’s Le Mans script! Unfortunately, circumstances did not allow us to keep to that strategy. The car was good, we were comfortable and all was going to plan until the technical issue crept in.”

The problem came as a surprise to the #1 crew after a confidence boosting series of pre-race tests at the Sebring circuit.

“We were so comfortable that we didn’t think it necessary to participate in the final free practice session,” said Tréluyer. “The car was just that good. In qualifying, André did one flying lap and set pole; when we lost ground to traffic in the race we came back very strongly and kept heat in the tyres so as not to make any unforced errors.”

To avoid making contact with a single car for 12 hours of racing is a real challenge at Sebring – and one that Benoît, André and Marcel were able to successfully achieve.

“We managed to steer clear of the usual pitfalls,” concluded Tréluyer. “We’d never encountered this problem before, but that’s motor racing. We hit our targets and, personally, this is what I want to remember about the event. André, Marcel and I were making our 12 Hours of Sebring debuts and the experience we have gained is vital. We aim to come back next year and win.”

Following the race Audi Sport will remain at Sebring for testing in preparation for the second round of the World Endurance Championship at Belgian circuit Spa-Francorchamps (May 5). The event will mark the debut of Audi’s new R18 e-tron quattro – a hybrid version of the car that claimed last year’s Le Mans 24 Hours – which will form the basis of the Ingolstadt firm’s endurance programme this season.

Until then you can follow Benoît on Twitter and Facebook to get a behind the scenes look at the World Endurance Championship and share in his passion for the sport.

12 Hours of Sebring classification:

1. Capello/Kristensen/McNish (Audi R18 TDI) 325 laps; 2. Bernhard/Dumas/Duval (Audi R18 TDI) +4 laps; 3. Potolicchio/Dalziel/Sarrazin (HPD-Honda), +6 laps; 4. Tucker/Bouchut/Barbosa (HPD-Honda) +6 laps; 5. Nicolet/Lahaye/Pla (Morgan-Judd) +7 laps, etc…12 Heures de Sebring (1ère manche WEC)

Auteurs de la pole-position, Benoît Tréluyer et ses équipiers étaient victimes d’un problème de changement de vitesses à mi-parcours. Une lourde déception pour les vainqueurs des 24 Heures du Mans 2011, toutefois atténuée par le doublé finalement signé par Audi.

Ils avaient toutes les chances de terminer sur la plus haute marche du podium ! Après la pole-position signée en qualification par André Lotterer (… la première du nouveau championnat du monde d’endurance FIA !), Benoît et ses équipiers faisaient figure de réelle menace pour la voiture sœur n°2 de Capello/Kristensen/McNish. Seulement, alors que la mi-course venait d’être passée, quelques petits soucis électroniques affectant la descente des rapports venaient contrarier le tableau de marche de l’Audi R18 dont c’était les adieux à la compétition.

« Le problème s’est manifesté une première fois alors que j’étais au volant, explique Benoît. J’ai préféré prévenir l’équipe et je suis rentré au stand. Hélas, dans la précipitation, le préposé à l’extincteur n’a pas eu le temps de se préparer et nous avons écopé d’une pénalité. Soit un tour ! »

Un lourd handicap qui, toutefois, n’avait pas d’impact sur le résultat final puisque, bientôt, c’était au tour de Marcel Fässler d’être confronté aux mêmes symptômes.

« Là, il a carrément fallu rentrer la voiture dans le paddock pour changer des composants, poursuit Benoît. Après, nous sommes repartis sur un bon rythme. Un rythme de vainqueurs, sauf qu’il était évidemment trop tard avec 17 tours de perdus. En fait, nous avons simplement manqué de réussite. »

Dommage, évidemment, car l’équipage vainqueur des dernières 24 Heures du Mans 2011 semblait avoir tous les atouts dans son jeu.

« Nous étions bien, souffle le natif d’Alençon. Nous étions parvenus à passer à travers le trafic, à éviter tout contact sur une piste très encombrée. L’objectif était de rester dans le même tour que les leaders, afin d’être en position de porter une attaque lors de la dernière heure. En fait, nous voulions voir comment ça allait se passer sur la fin. Rejouer le scénario du Mans, en quelque sorte ! Malheureusement, les circonstances ne nous ont pas permis de suivre le tableau de marche prévu. La voiture était bien, nous étions à l’aise, tout marchait comme prévu jusqu’au moment où nous avons eu le problème… »

Lors des phases préparatoires, aucune alerte n’était venue entamer la confiance des trois compères.

« Nous étions tellement bien que nous n’avions pas jugé utile de participer à la dernière séance libre, note encore Benoît. Lors de la qualif, André (Lotterer) est parti pour un seul tour chrono et a fait la pole. La voiture était fantastique. En course, après les rares moments où nous perdions du terrain, nous étions capables de revenir sans problème. On chauffait bien les pneus pour ne pas faire d’erreur stupide ! »

Ne pas toucher une seule voiture au cours des 12 heures de course est un vrai challenge à Sebring. Challenge que Benoît, André et Marcel étaient parvenus à relever…

« Nous étions passés au travers de tous, conclut Benoît. Ce petit problème technique que nous n’avions jamais eu, c’est de la faute à pas de chance. C’est la course ! Nous avions rempli nos objectifs et, personnellement, c’est ce que je veux retenir. Aussi, pour nous qui n’avions jamais disputé les 12 Heures de Sebring, l’expérience acquise est primordiale. On espère revenir l’an prochain pour s’imposer. »

La course venait à peine de s’achever que, déjà, toutes les forces vives de Audi Sport étaient mobilisées pour les essais programmés sur le célèbre tracé de Floride. Une semaine consacrée à la préparation de la deuxième manche du WEC qui aura lieu à Spa-Francorchamps le 5 mai prochain. Cette fois, il conviendra d’étrenner la nouvelle Audi R18 e-tron quattro, version hybride de la voiture lauréate des dernières 24 Heures du Mans, qui sera le fer de lance du programme endurance de la firme d’Ingolstadt cette saison.

D’ici-là, n’hésitez pas à retrouver Benoît sur Twitter et Facebook pour découvrir les coulisses du championnat du monde d’endurance et partager sa passion.

12 Heures de Sebring (classement) :

1. Capello/Kristensen/McNish (Audi R18 TDI) 325 tours ; 2. Bernhard/Dumas/Duval (Audi R18 TDI) à 4 t. ; 3. Potolicchio/Dalziel/Sarrazin (HPD-Honda) à 6 t. ; 4. Tucker/Bouchut/Barbosa (HPD-Honda) à 6 t. ; 5. Nicolet/Lahaye/Pla (Morgan-Judd) à 7 t, etc…

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